Faites étinceler vos imprimés avec la dorure (à chaud)
Faites l'expérience du marquage à chaud, communément appelé "dorure" à chaud, et augmentez votre vraie richesse (on ne parle évidemment pas de votre compte en banque, pour celle-ci on ne sera pas d'une grande aide ;) mais de créativité et d'imaginaire en découvrant une finition d'ennoblissement habituellement réservée aux marques de luxe ! Qui ne voudrait pas ajouter une touche d'élégance et de sophistication à son imprimé, pour le transformer d'un produit ordinaire en œuvre mémorable ! Non seulement la dorure à chaud capte l'attention et renforce l'attrait visuel, mais elle crée également une expérience durable sur votre public et clients potentiels en communiquant efficacement l'identité et les valeurs de votre marque.
Le rendu unique de la dorure
Alors, prêt.e.s à faire briller (mais pas que !) votre marque et vous démarquer du lot ? Commençons par mettre les choses à plat pour bien se comprendre, le terme "dorure" peut prêter à confusion mais ce procédé ne se limite pas au doré ! Certes, avec les nombreuses références proposées par les divers fournisseurs en "gold", il y aurait déjà de quoi remplir un beau catalogue : or jaune, or antique, or riche, champagne, satiné, ou d'autres surnoms plus inattendus comme notre coup de coeur de l'or "pirate" (imaginez que chaque nom a été brainstormé durant des heures ;). Bref, en plus de tout cet or, d'autres métaux comme l'argent ou le cuivre sont proposés ainsi qu'une multitude de teintes métalliques colorées aux rendus plus au moins brillants, satinés ou mats, mais aussi des motifs à diffraction (= holographique ;), des effets de matières (métal brossé, pailleté, transparence...) et des couleurs appelées "pigmentaires" qui peuvent parfois être encore déclinées en finition brillante ou matte.
C'est bon... mais c'est chaud !
Pour ce qui concerne la technique, le marquage à chaud consiste à déposer le film sur le support papier grâce à un cliché métal chauffé : sous l'effet de la chaleur et de la pression, la couche thermofusible du "hotfoil" vient se coller sur la feuille (sans rentrer dans le détail ici, sachez juste qu'il existe plusieurs type de films ;). L'intérêt est aussi de parfaitement recouvrir la couleur ou précédente impression du support (sauf si on choisi volontairement un film transparent, évidemment...), car hormis les encres métalliques, toutes les encres sont transparentes en letterpress : impossible par exemple d'envisager une impression en rouge sur un papier noir ou foncé en typo... tandis qu'en marquage à chaud (métallisé ou pigmentaire), le rouge couvrira parfaitement la couleur du papier ! C'est chic, non ?
